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Roses blanches et culotte de soie

Résumé
Clara Vernay, une jeune femme qui rêve de devenir écrivaine, entre dans l'administration publique plus par nécessité que par vocation. Attachée territoriale à la mairie de sa ville, elle va se trouver entraînée dans un cauchemar par le nouveau maire qu'elle surnomme Lucifer. Ivresse du pouvoir, harcèlement moral... Clara réussira-t-elle à conserver ses idéaux ?
Durée: 3h. 48min.
Édition: Paris, L'Harmattan, 2008
Numéro du livre: 39572
ISBN: 9782296064287

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Résumé:"S'il y avait eu un autre témoin, je lui céderais volontiers la place, ici, pour qu'il mène à bien le récit de la vie d'Adélaïde Marèse, telle qu'elle me la laissa entrevoir au fil des quelques mois où nos exils coïncidèrent. (...) Je tâcherai de décrire le cheminement d'une femme depuis les jours de ce qu'elle appelait le continent austral (...) et qui est morte un dimanche, il y a quelques semaines, à Paris, dans l'une des nefs de l'hôpital Saint-Louis, après avoir vécu ses derniers mois dans le quartier du faubourg Saint-Denis où quelques personnes garderont, avant de s'en aller à leur tour, juste le souvenir de sa silhouette d'institutrice."
Lu par : Isabelle Buchet
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Résumé:Imaginez la fin du monde, qui est, comme chacun sait, beaucoup plus simple à concevoir que la fin du capitalisme. Imaginez l’extinction de notre espèce et que vous vouliez préserver et transmettre la mémoire de cette constellation de pratiques, de formes, d’usages et d’objets que nous avons fini par appeler littérature. Telles étaient les règles du jeu que nous pratiquions, mes étudiants et moi, ces dernières années. Avec eux, je souhaitais travailler le cœur de notre condition narrative. Il fallait retrouver des gestes qui résonnent avec notre situation et réinventent le monde en le peuplant de récits. Trois d’entre eux nous ont retenus : celui de Shéhérazade et des Mille et Une Nuits, celui de l’affaire dite de Tarnac et de L’Insurrection qui vient, enfin celui du Décaméron. Puis le lieu où nous avions trouvé refuge pour résister à la décomposition de l’institution universitaire a fermé ses portes. Ne restent sur les murs que des images et les paroles que les occupants y ont tressées. Cet espace devient alors un musée où nous revisitons, comme dans un rêve, les trois ou quatre mille ans à peine durant lesquels les humains n’auront joué qu’à cela : tromper la mort en se racontant des histoires.